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WALDEN #7 / Un Refuge au Printemps

by 2022

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1.
EXOTIC THRILL Hey Guvnor Can you break the scene ? You’ve been surrounded By obscene things Bring my people in Giant creatures on the ring A desperate big fat man screaming Bring my people in I see your kingdom Collapsing Can’t frame the picture The colors in Bring my people in Dreams are making you stronger It’s all about – dreams – making you – stronger It’s all about A sour vision – a magician A world of tricks Where money flows Bring my people in Hey honey Can you break the scene ? You’ve been dancing – stripping on the ring Bring your colors in I see ambition I see attraction I see resistance on every floor Bring my people in Dreams are making you stronger It’s all about – dreams – making you – stronger It’s all about
2.
GØUDRØN Fini les arbres les saisons les hameçons Fini les frondaisons Fini les bourgeons les tiges que nous sucions Fini les fenaisons Dégageons Dégageons Dégageons Dégageons dans les plumes et le goudron Fini le soleil qui poudroie Fini les feux de joie Fini l’ivresse des terres que nous tenions les corps à l’abandon Dégageons Dégageons Dégageons Dégageons dans les cendres et le goudron Fini les bruyères le muguet les genêts Fini les champs de craie Fini les combes les lacis les lacets Fini les bouquets Dégageons Dégageons Dégageons Dégageons dans le mercure le goudron
3.
ALCOOL J’ai fini tous les verres, j’ai bu dès la tombée du soir Quelqu’un a mis des fleurs dans l’eau et m’a dit au revoir  Saoule, j’ai dansé comme si j’étais de l’air Il y avait des enfants, des gens et ce grand feu de joie Mais je n’écoutais plus vraiment J’étais comme partie dans ma tête Quelle que soit la fête j’y suis sans y être Je n’entends plus depuis longtemps Ce qu’on me dit ce qu’on me souhaite Quelle que soit la fête J’y suis sans y être vraiment est il utile ou juste futile que je t’envisage ? J’ai dormi dans les dunes de sel bercée par mes cheveux Il y avait l’océan devant, rien que nous deux Tout mon corps fondu dans le sommeil Impatient de soleil, impatient Mais je ne dormais pas vraiment J’étais comme partie dans ma tête Quelle que soit la fête j’y suis sans y être Je n’entends plus depuis longtemps Ce qu’on me dit ce qu’on me souhaite Quelle que soit la fête J’y suis sans y être vraiment est il utile ou juste futile que je t’envisage ? J’ai fini tous les verres, j’ai bu dès la tombée du soir Quelqu’un a mis tes fleurs dans l’eau et m’a dit au revoir
4.
5.
6.
LA CLAIRIÈRE Quelques heures avant la nuit À l’orée du bois Traquer le soleil qui fuit Dans les branches, là entre là Les arbres ont mis leur habit vert Le ciel a mis son manteau rouge Nous avançons dans la clairière Autour plus rien ne bouge Il nous faut bien nous méfier Semer des cailloux Parler le langage secret Des rivières, et puis des loups Les arbres ont mis leur habit vert Le ciel a mis sa cape orange Nous nous couchons dans la clairière Et nul ne nous dérange Jusqu’où nous faut-il aller Est-il un endroit Où le bruit du monde se tait Un lieu autre que tes bras Les arbres ont mis leur habit vert Le ciel a mis sa robe d’ombre Nous resterons dans la clairière Tandis que la Terre sombre Les arbres ont mis leur habit vert Le ciel a mis son manteau rouge Nous avançons dans la clairière Autour plus rien ne bouge Les arbres ont mis leur habit vert Le ciel a mis sa cape orange Nous nous couchons dans la clairière Et nul ne nous dérange Et nul ne nous dérange Et nul ne nous dérange
7.
JE M’ABANDONNE À TOI Je voudrais te revoir, Pour te dire tout bas Des choses maladroites Que l’on ne dit qu’une fois Mais te les dire à toi Et t’ouvrir grand mon âme Pour t’offrir enfin tout Tout ce qu’il faudra Je m’abandonne à toi Je m’abandonne à toi Et nous nous connaissions Depuis cent ans déjà Oui nous nous dirons tout Nous ne vieillirons pas Je me plierai à tes ordres Je serai fou de toi Aux doutes, à la discorde Je dirai : « souviens-toi » Je m’abandonne à toi Je m’abandonne à toi Et nous vivrons heureux Contraints d’aucune loi Et j’ai l’ennui de toi... Et j’ai l’ennui de ça Je m’abandonne à toi Je m’abandonne à toi
8.
SO BAD Like the peacock’s tail, this song is nothing but a lure To make you want (to be with) me... so bad Like that bird’s swath of eyes, it’s the best I could devise It’s the money, the cool car and the house I’ve never had I’m not doing it for the fame or to get on TV This song’s only aim is to draw you closer to me It’s an arrow I’m shooting here to touch you under the skin A dream I’m mooting, dear, to make you believe in And make you see how good we could be I only sing this song to make you want to be with me... so bad Yes, this song is my eruption of colorful plumes My means of attraction, my courtship display A proof of amorous fitness, the honey in my tunes is all ardent sweetness to get you under my sway This is my sage-grouse’s pumped up chest and strut and the bower I’m building for you as a psychedelic hut My pheasant’s harlequin hues and robin’s tuneful splendor My hummingbird’s prism chartreuse, my bull elk bugle in November To touch your heart and trouble your gut I only sing this song to make you see what a wonderful world you and I would be I only sing this song to make you want to be with me... so bad Modigliani didn’t need a Corvette to conquer all those creatures Gauguin didn’t need money to mate and mate ad nauseam Rivera had his murals to blind women to his porcine features And while some say Picasso’s stare got the girls to succumb... I say it was his painting-a-day that let that cad have his way A painting-a-day made the girls want to stay Me, I don’t have the paintings and hardly have the looks and who knows if you’ll ever bother to read one of my books But I know a song is bait and the right tune a killer hook So I came up with this ditty, darling, to get you all shook... up It won’t hunt or forage for food or shoot down enemy drones but I’m counting on this song to take me to your intimate zones To dazzle your mating mind and rattle your mating bones I’m going after your mating ear with these dulcet tones The only way I know to stir your hormones And make your river flow, flow to my sea I only sing this song to make you want to be with me I only sing this song to make you want me... so bad
9.
10.
NEBBIA Sono passato dove c’è nessuno Dove il cielo è di piombo Il tuo viso tra la nebbia Viso sotto il mio viso tra la nebbia Sono andato dove c’è nessuno Dove il cielo è di piombo Il tuo viso tra la nebbia Viso sotto il mio viso tra la nebbia Sono passato dove c’è nessuno Dove il cielo è di cromo Il tuo viso tra la nebbia Viso sotto il mio viso tra la nebbia
11.
EN PARALLÈLE Fuir Fuir la terreur De l'absence et de l'oubli Fuir l'extérieur Le monde indifférent Viens en parallèle Ici, tout est comme avant Je te garde en vie Aimée éternelle Je te garde au-dedans Fuir Fuir l'errance Oublier la nuit qui s'épanche À l'intérieur, je te construis Un amour. Immense Au berceau de ma vie Fuis l’extérieur Le monde indifférent Viens en parallèle Ici, tout est comme avant Je te garde en vie Aimée éternelle Immortelle au-dedans
12.
NEW LIFE I stand still, stepping on the shady streets And I watched that man to a stranger If you you only know me when you turn on the light Now the room is lit, red danger Complicating, circulating New life, new life Operating, generating New life, new life Transition to another place So the time will pass more slowly Your features fuse and your shadow's red Like a film I've seen, now show me Complicating, circulating New life, new life Operating, generating New life, new life Your face is hidden and we're out of sight And the road just leads to nowhere The stranger in the door is the same as before So the question answer's nowhere Complicating, circulating New life, new life Operating, generating New life, new life I stand still stepping on the shady streets And I watched that man to a stranger You think you only know me when you turn on the light Now the room is lit, red danger Complicating, circulating New life, new life Operating generating New life, new life
13.
SUPRAMONTE Vent du nord emporte mes os Sur les rives de son tombeau Ce gouffre au goût de pays chaud Où s’irise la peau Supramonte de tes entrailles Cachées Peaux lisses et brillantes écailles Mêlées Peur du vide griffée dans le dos Pour celui que tu rends beau Pauvre diable qui rêve tout haut Sur les rives de ton berceau Supramonte de tes entrailles Cachées Peaux lisses et brillantes écailles Mêlées Nage encore En moi Supramonte de tes entrailles Supramonte là où je nage …
14.
15.
16.
L’ABSENT L’absent est beau L’absent est fort L’absent est grand Oui mais l’absent a tort Plus il est loin Plus je l’attends Moins il revient Et plus brille l’absent Ni de dos, ni de face Quelques photos, des traces Du vert au fond des yeux Du roux dans les cheveux Preuves de son passage A+ indélébile Une enfance un peu sage Les émotions fragiles Sans même laisser de nom Sans même laisser d’adresse Ma force, ma faiblesse L’absent prend toute la place Dans mes sourires lointains Mes frôlements de mains, l’absent Dans mes appels au secours Dans mes petits matins Dans tous mes mots d’amour, l’absent Dans mes notes, mes refrains Mes rires, mes chagrins Dans mes faux lendemains, l’absent Dans le rouge de mes lèvres Dans mes combats mes trêves, l’absent Dans chaque gorgée de vin Dans mes cauchemars mes rêves Dans chaque début chaque fin, l’absent.
17.
PRIMITIFS MODERNES J'aime les garçons qui courent sur place Vont ils dans le mur ou dans l'espace ? Génération à enchanter De nos positions, démissionner Longtemps je n'ai plus vu personne Je trouvais les gens monotones Relancer la fête oui mais comment faire ? Si tout le monde éteint ces lumières Partout des shérifs enferment des primitifs Hyperoisifs dans nos cavernes de primitifs Puisqu'on nous dit « la paix c’est la guerre » et qu'aujourd'hui a tout pour nous déplaire crachons sur les dieux de la veille ouvrons grand les yeux vers le soleil Partout des shérifs enferment des primitifs modernes Hyperoisifs dans nos cavernes de primitifs modernes Partout des shérifs enferment des primitifs modernes Hyperoisifs dans nos cavernes de primitifs Partout des shérifs enferment des primitifs modernes Hyperoisifs dans nos cavernes, oh oh oh, modernes
18.
J'EFFACE J’efface je mens Je m’en vais au soleil Je passe le temps Je m’en vais au soleil Danse de l’air plage au-dessus du sol Peuplée d’étranges ordinaires À la surface de mes envols Une plage foulée de pieds blancs De sauvages brûlants J’efface je mens Je m’en vais au soleil Je passe le temps Je m’en vais au soleil Invisible embrasée je fume Je crois que je me consume Aux soleils aux miroirs d’ombres Je crois Je crois que je sombre Étendue chez les étendus J’efface je mens Je m’en vais au soleil Je passe le temps Je m’en vais au soleil Allongée désarticulée En quête d’authenticité Dans les plastiques passe le vent J’écris sur le sable mouvant Ici gît ce que je suis Désinhibée démaquillée Passée de l’hiver à l’été Dans mon crâne s’engouffre le vent Sauvage venue d’occident Ici gît ce que je suis J’efface je me mens Je m’en vais au soleil Je passe le temps Je m’en vais au soleil J’efface je mens Je m’en vais au soleil Je passe le temps Je m’en vais au soleil
19.
TON OMBRE EST MA LUMIERE Si loin qu’on s’est perdu sans le voir. Sur des chemins foutus au hasard. D’une terre où l’on se plairait à ne plus croire. Ton ombre est ma lumière. Sur le reste du monde. Ici c’est la folie et tu vois. Ce qu’au fond de la nuit dans nos pas. On défait on se met dans nos états. Ton ombre est ma lumière. Sur le reste du monde. Dans un désordre d’abord. Accepter le sort. Même le pire du monde. Fondre dans le décor. Même si les bras m’en tombent. Sommes-nous les pires du monde. Quelque soit le tort. Et en vouloir encore. Ton ombre est ma lumière. Sur le reste du monde. Et si ton ombre est ma lumière. Sur le reste du monde. Ton ombre est ma lumière. Sur le reste du monde. Ton ombre est ma lumière. Sur le reste du monde. Ton ombre est ma lumière. Ton ombre est ma lumière. Ton ombre est ma lumière.
20.
21.
NULLE FAUX Qu'aucun de nous ne meure Qu'aucun animal ne saigne Que nulle faux ne passe Sur nos amours Qu'aucun de nous n'ait peur Qu'aucun arbre ne se fende Que nulle faux ne passe Sur nos frêles vies Que nos armes soient blanches Qu'aucun dogme ne les aiguise Q'aucun dieux ne les lance Sur l'innocence Qu'aucun oiseau ne tombe Qu'aucun de nous ne s'effondre Que nulle ombre ne passe Dans nos regards Que nulle faux ne passe Que battent encore nos coeurs Que frémisse le saule Que se lève l'aube Que nulle vie ne cesse aux creux de nos paumes Que nulle faux ne passe
22.
TWIST AGAIN AVANT LA FIN Oh moi je voudrais bien encore une fois Redanser sur ce rythme là Tempo d'un autre temps Que dansaient tes grands-parents Non la chorégraphie n'a pas grand style Les mouvements sont un peu faciles Mais si tu le veux bien Dansons le jusqu'à la fin « Twist ! » Refrain : Chalala – chalala (Twist ! Twist!) Chalala – chalala (Again and again !) Chalala – chalala (Twist ! Twist!) Chalala – chalala (Until the end !) Solo Écoute les musiciens sont fatigués La rythmique est un peu rouillée / usée Oui mais je suis certain Qu'ils tiendront jusqu'à la fin Oh personne n'a rien compris au film Le début n'était pas terrible Mais attends voir la fin Y'a un twist, je le sens bien Refrain Moi, je me souviens Cette nuit, cette fille qui dansait si bien Toi, ne t’arrête pas Continue, s’il te plait, à danser pour moi Refrain (ad lib)
23.
24.
(Leonard Cohen/Leonard Cohen)
25.
J'SUIS PAS J’broie pas du noir J’traine pas tard le soir J’rêve en peignoir J’fume des menthols C’est tout tout un symbole J’ose la coupe au bol J’vide pas mon sac J’me plie en quatre Je suis pas d’humeur égale J’suis mal dans ma peau J’passe incognito Allo maman, bobo J’ai pas les jambes de Steffie Graff J’suis pas la June, la June de Johnny Cash J’fume pas d’pétard J’casse pas mes guitares J’pars pas en caravane J’bois pas d’absinthe Oh j’suis pas une sainte C’est sûrement pas si simple J’fais mine de rien J‘en pense pas moins Mais qu’est ce qui m’retient J’ai pas les jambes de Steffie Graff J’suis pas la June, la June de Johnny Cash Oh mon beau miroir, Donne moi l’espoir D’être un jour une rock star Oh mon beau miroir, Donne moi l’espoir D’être un jour une rock star Et puis tant pis Je suis comme je suis J’épouserai pas Johnny J’suis pas
26.
RAINBEAUX I watch you on the silver screen Wondering who you are So frail and pale, so alive The perfect movie star Rainbeaux, Rainbeaux you knew All the way... The pictures roll, the story unfolds And the plot is thin Your angelic face frozen in a blur Tells me where you've been I'll wait until the gravest hour Hoping you won't show I can't begin to imagine What you're supposed to know Maybe there was something deeper than love Maybe there was no other way Something that took you unawares That said you couldn't stay Your broken eyes offer me no light No sky above your endless night Screen queen, so alive Now you're gone, forty five...
27.
FOUGÈRE J’avale de grands morceaux de nuit J’avale de longs rubans de route J’avale de grands lambeaux de nuit J’avale de longs rubans de route Et puis Dans les phares soudain s’éclaire Le regard doux d’un mammifère Comme la terre (tu m’attends) comme la mousse (tu m’attends) comme la fougère Comme le désert (tu m’attends) comme le puits (tu m’attends) comme le cimetière Comme la clairière (tu m’attends) comme la boue (tu m’attends) comme la fougère Comme l’hôpital (tu m’attends) comme le sol (tu m’attends) comme le cimetière Nocturne aux lisières du sommeil Un cervidé dans le cerveau Nocturne aux lisières du sommeil Un sanglier un sanglot Dans les phares soudain s’éclaire Le pelage doux d’un mammifère Comme la terre comme la mousse comme la fougère Comme le désert comme le puits comme le cimetière Comme la clairière comme la boue comme la fougère Comme l’hôpital comme le sol comme le cimetière
28.
ENTRE PARENTHÈSES J’ai fait pause sur mon rythme flou J’ai vu rouge sur mes choix foux J’ai perdu la trace, ces chemins qui s’effacent J’ai perdu la pause, une vérité s’oppose Je n’ai pas vu la route, dans la foule qui doute, J’ia perdu la face, un idéal se passe J’ai mis ma vie entre parenthèse J’ai mis mon corps en quarantaine Je plane sur les moments je réclame un infini devant Et quand demain revient dans une lenteur éparse Je réclame un retour vers les flamme , je déclame une confidence sale Et quand le soir devient un autre réel se dévoile
29.
Low Get up & step outside in the pouring rain when your heart breaks & you feel like a different man standing in the shadows of your former self Your mind's pretty heavy & your conscience erased You feel low low low low low low & the blues feels like it’s never gonna go when you feel low low low Deep in the tatters of a sparkling new century your eyes on your cell phone & it won’t set you free walkin’ on the boulevards of broken dreams thanks for the invitation but I'll pass I feel low low low low low low & that blues feels like it’s never gonna go when you feel low low low Won’t you give me another try Won’t you give me another lie I feel low low low low low low & that blues feels like it’s never gonna go when you feel low low low & the waves roll so low low low & that blues feels like it’s never gonna go Feeling low low low
30.
L'AUTRE RIVE Oh ton cœur est si léger beau Qu’il ne prend pas racine dans un pot Oh ton cœur est si léger beau Qu’il ne prend pas racine dans un pot C’est pourquoi tu trépignes au milieu des autres Ils parlent une langue que je ne comprends pas Pourtant c’est la même que moi Je suis le frère d’une autre rive Et je flotte à la dérive Je te rejoindrai ma fille à mille lieues de là Oh tu t’es envolée là-haut Moi je reste l’étranger sot Etourdi, détrempé d’eau
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MATURE MATURE laura 35 ans psychologue scolaire sarah 49 ans CPE à paris shana 45 ans coiffeuse à reims isabelle 43 ans institutrice à orléans béatrice 40 ans prof d'arts plastiques à toulouse deby 40 ans opticienne d'autres utilisateurs ont été intéressés par des vidéos sur les thèmes : anal mature, belle mature, beurette mature, cul mature, gang-bang mature, lesbienne mature, mature amateur, mature chatte poilue, mature française, mature gros seins, mature levrette, mature nue, mature salope, partouze mature, trio mature, vieille mature jusqu'à 35 ans on est une rousse une asiatique une BBW (big beautiful woman) une beurette une black une blonde un gros cul des gros seins une japonaise une jeune de 18 ans une latina une lesbienne une maman ou MILF (mother i'd like to fuck) une belle-mère des petits seins des pieds une russe une soumise apparemment sans profession après 35 ans on devient sorcière OU femme active il faut donc être adulte au plus tôt travailler illico sinon risquer d'être condamnée à rester OJE (objet de jeunesse éternelle)
34.
ES-TU BRUNE OU BLONDE ? Es-tu brune ou blonde ? Sont-ils noirs ou bleus, Tes yeux ? Je n'en sais rien, mais j'aime leur clarté profonde, Mais j'adore le désordre de tes cheveux. Es-tu douce ou dure ? Est-il sensible ou moqueur, Ton cœur ? Je n'en sais rien, mais je rends grâce à la nature D'avoir fait de ton cœur mon maître et mon vainqueur. Fidèle, infidèle ? Qu'est-ce que ça fait. Au fait ? Puisque, toujours dispose à couronner mon zèle Ta beauté sert de gage à mon plus cher souhait.
35.
JUSQU'AU LARGE Le bleu des vagues m'enlace Commence à m'étourdir Maintenant, la mer menace D’emporter ce qu'il me reste à dire Je nage jusqu'au large Sans être certain de revenir Le soleil se reflète dans mes yeux Ma mémoire s'efface peu à peu Plus je m'éloigne plus le ciel s’assombrit La nuit a tout envahi Je dois perdre espoir ou perdre connaissance C’est pas la mer à boire Je ne mesure pas ma chance Le bleu des vagues me lasse Me rejette immobile Le souffle court J’écris dans le sable mon exil Le soleil se reflète dans mes yeux Ma mémoire s'efface peu à peu Plus je m'éloigne plus le ciel s’assombrit La nuit a tout envahi Débarquer comme ça, comme si de rien n’était Mais qu'est-ce que je croyais ? personne ne m'attendait Jusqu’au large, j'ai continué Le soleil se reflète dans mes yeux, Ma mémoire s'efface peu à peu Plus je m'éloigne plus le ciel s’assombrit La nuit a tout envahi Débarquer comme ça, comme si de rien n’était Mais qu'est-ce que je croyais ? personne ne m'attendait
36.
L'AMOUR VIDE Doux comme le sable chaud Sur la plage grise du Lido En août C’est là où je suis C’est là où je meurs aussi Sans doute Stupide Comme cet amour Toujours vide Stupide Comme cet amour Toujours vide Blonds, les garçons Si jeunes les hommes Tournés vers la mer Doux comme des démons Dont on ne saura Jamais quoi faire Humide Comme cet amour toujours vide Humide Comme cet amour toujours vide Dove sono gli angeli distratti Ma dove sono questi angeli C’est là où je suis Brûlante et sage Comme ma douleur Chaude, comme La nuque des hommes Qui regardent Ailleurs
37.
FACE AUX MOUVEMENTS DU CŒUR #1 Moi face aux mouvements du cœur Moi face au monde et ses lueurs Il ne bouge pas d’un cil, Je tourne autour, reste mobile, Mais je n’ai rien retenu De la leçon sur les vaincus Juste que c’est inutile De sans cesse être docile En éternel débutant Dont le cœur a bien 100 ans Tu vois je vis comme un reptile, Change de peau, change de ville Je fais l’éloge du plongeur Qui est parti en éclaireur Face à des changements majeurs Face à des vies partout meilleures Face à nos mouvements de cœur, Devant la porte, face à nos peurs Non je n’ai rien retenu De cette histoire rabattue Mais je te donne mon accord, Nous y allons sans un renfort Si cette option est un fiasco Nous l’apprendrons bien assez tôt Car tant de choses se profilent, Je trace un trait, je suis le fil Je fais l’éloge du plongeur Qui est parti en éclaireur Puisque le cœur bat dans une vie tant de fois Puisque le cœur bat sans vision, immédiat Puisque le cœur bat nuit et jour, où qu’on soit, Puisque mon cœur bat quand je suis avec toi, Tout peut bien arriver
38.
LE CHANT DES PISTES Quand le chant des pistes s'éleva dans la plaine juste après la pluie dans l'odeur de la terre Là où surgissent les couleurs des vallées Là dans la nuque des ravins ondulés je retiens l'écho dans le creux de ma main au rayon de l'eau, à l'abri, en chemin, je planterai un arbuste à sa trace je mêlerai son écorce à l'espace La plaine, dans ses habits infinis, devenait le monde entier La plaine, dans ses habits infinis, devenait le monde entier Et quand tous les chants peu à peu résonnèrent quand sous les fossiles les racines s'éveillèrent redécouvrant les contours oubliés d'un territoire peu à peu dessiné je retiens les traits invisibles des chemins au rayon de l'air, étourdi, au matin je ferai miennes les histoires une à une jusqu'à savoir les collines et les dunes La plaine, dans ses habits infinis, devenait le monde entier La plaine, dans ses habits infinis, devenait le monde entier mais quand la poussière sera toute recouverte de nouveaux reliefs, de tracés éphémères quand tous les sentiers foulés par nos ancêtres l'un après l'autre disparaîtront des terres quels seront les chants de nos cités architectes la cartographie du ciment et du fer quand les eaux de pluie n'iront plus à la terre quel sera le sens du mot désert Je voudrais l'orage je voudrais le tonnerre je voudrais sentir dans les brins de la terre qu'il existait des chants parmi les pierres dans la fraicheur et le son du désert et quand tous ces chants m'auront dit leur histoire je voudrais qu'il reste dans l'écorce de mon arbre le souvenir et les rêves de ce temps quand les rochers fredonnaient doucement La plaine, dans ses habits infinis, devenait le monde entier La plaine, dans ses habits infinis, devenait le monde entier
39.
LE SOLEIL ET LA LUNE Sur le toit de l'hôtel où je vis avec toi Quand j'attends ta venue mon amie Quand la nuit fait chanter plus fort et mieux que moi Tous les chats tous les chats tous les chats Que dit-on sur les toits que répètent ces voix De ces chats, de ces chats qui s'ennuient Des chansons que je sais que je traduis pour toi Les voici, les voici, les voilà Le soleil a rendez-vous avec la lune Mais la lune n'est pas là et le soleil attend Ici-bas, souvent chacun pense a chacune Chacun doit en faire autant La lune est là, la lune est là La lune est là, et le soleil ne la voit pas Pour la trouver, il faut la nuit Il faut la nuit mais le soleil ne le sait pas et toujours luit Des savants avertis par la pluie et le vent Annonçaient, un jour la fin du monde Les journaux commentaient en termes très émouvants Les avis, les aveux, des savants Bien des gens affolés demandaient aux agents Si le monde était pris dans la ronde C'est alors que docteurs, savants et professeurs Entonnaient subito tous en chœur Le soleil a rendez-vous avec la lune Mais la lune n'est pas là et le soleil attend Ici-bas, souvent chacun pense à chacune Chacun doit en faire autant Le soleil a rendez-vous avec la lune Le soleil et la lune Philosophes, écoutez cette phrase est pour vous Le bonheur est un astre volage Qui s'enfuit à l'appel de bien des rendez-vous Il s'efface, il se meurt devant nous Quand on croit qu'il est loin, il est là tout près de nous Il voyage, il voyage, il voyage Puis il part, il revient, il s'en va n'importe où Cherchez-le, il est un peu partout Le soleil a rendez-vous avec la lune Mais la lune n'est pas là et le soleil attend Ici-bas, souvent chacun pense à chacune Chacun doit en faire autant Le soleil a rendez-vous avec la lune
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UN GARÇON Un garçon bien trop jeune dans sa chair et ses os Ne croyait plus en rien puisque tout était faux Des pensées s’échappaient s’envolaient dans le vent Et puis d’autre persistaient à ses tempes s’accrochant Du vacarme dans sa tête il ne savait que faire Lui qui a fuit longtemps le silence de son père Il traversait le temps en négligeant l’espace Même s’il pensait souvent aux planètes et aux astres Il n’est sûr que d’une chose il suivra les comètes, Il ne craint pas le chaos encore moins les défaites Il voguera sur les eaux, rejoindra l’océan Puis bravera les tempêtes pour s’offrir aux autans La trajectoire de sa course n’a cessée de dévier Et si rien ne s’y oppose pourquoi donc résister Qu’importe les contre-sens les entorses au système Il rejette les milieux seuls l’attirent les extrêmes Que mes parts d’ombres s’effacent, Que la lumière prenne place en moi. Que ma tristesse s’efface, Que la lumière prenne place en moi. Il était jeune et beau mais ne le savait pas Et la sève sous sa peau malgré lui circulera Quand la marée montait il restait immobile S’apprêtant à nager pour atteindre la presqu’ile La caresse des embruns gravissant tout son corps Lui faisait oublier toute angoisse de la mort Lorsque tombait la nuit, il ralentissait sa course Rien ne le calmait mieux que de chercher la Grande Ourse C’est si fou comme parfois la mémoire nous échappe Et du jour au lendemain d’un coup elle nous rattrape Un jour face à la mer je retrouve ce frisson Lorsque j’avais huit ans j’étais ce petit garçon. Que mes parts d’ombres s’effacent, Que la lumière prenne place en moi. Que ma tristesse s’efface, Que la lumière prenne place en moi.
42.
LA NUIT POUR NOUS DEUX Du Haut de tes yeux La mer emplie le ciel Je marche dans les cieux J'embrasse tes cheveux de feu Brûle dans l’espoir d'un aveu D'un signe , d'une main Ton rire , enfin Et la nuit pour nous deux
43.
PARCELLE BRILLANTE Celui qu’on brise, celui qu’on méprise Celui qu’on abandonne à ses crises, à son sort, Pourrait devenir celui qui s’en sort Celui qu’on brime, celui qu’on opprime Qu’on laisse au fond d’une mine sans lumière, sans estime Sera peut-être celui... qui nous illumine Celui qu’on blesse, celui qu’on oppresse Celui qu’on juge inutile, encombrant, qu’on délaisse Sera peut-être celui qui nous apaise Ailleurs... Celui qu’on casse, celui qu’on déplace Devant lequel on passe, on trace, en restant de glace Sera peut-être celui qui nous soulage Celui qu’on oublie, celui qu’on décote Celui qu’on néglige, qu’on laisse au pas de la porte Sera peut-être celui qui apporte l’antidote Ailleurs
44.
45.
DES COULEURS Des couleurs au soleil Du bleu sur les fenêtres Rose peau teint hâlé Oh chaleur du matin Un passage une allée Au cœur de cette flore Des gens vivent égarés Un trésor peut éclore Du coton dans le ciel Des odeurs pain d’épice Légère cette brise Qui pourrait m’emporter Des brindilles dans la tête Cherchent encore un passage Mais cette sage image Fait d’elles un feu … Doux, doux, Calme est ce temps Calme et si doux Pour un moment Engourdie de sommeil Je ne peux m’étirer Restée là un instant Perdre le fil du temps Sous les feuilles lascives Verdoyantes pensées Les secondes se livrent A ces heures insensées Doux, doux, Calme est ce temps Calme et si doux Pour un moment
46.
SANS TERRE ET SANS ROI Je ne prends plus la dictée, diktat, dictature L'existence entière est remplie de rature Liberté de conscience, erreur de jugement, Loin de tout, de chez soi, près des sentiments Quand viennent à émerger de nouveaux désirs Il serait bien utile de ne pas seulement les subir Liberté de conscience, erreur de jugement Loin de tout, de chez soi, près des sentiments Messager d'un autre temps Fou d'un autre divan Libre de dire oui ou non au monde qui nous emploie A distance des dogmes et des croyances de bon aloi Mises en cause par un simple, un simple immigré Migrant, métèque, ingénu, fou à lier Messager d'un autre endroit Sans terre et sans roi
47.
FONTAINE Dis-moi que fais-tu de tes jours Les affrontes-tu sans détour Préfères-tu l’ombre à la lumière En es-tu parfois l’étrangère Dis-moi que fais-tu de tes nuits T’y jettes-tu comme dans un puits Ont-elles souvent raison de toi Est-ce qu’elles te prennent dans leurs bras Mais que fais-tu de ta douleur Quelle rivière charrie tes pleurs Où va le fiel où va le sel À quel fossé va donc la pelle Dis-moi que fais-tu de tes morts Est-ce que tu les adores encore Les portes-tu en calicot Dans quelle cohue dans quel chaos Est-ce que la vie te fait peur Est-ce que tu cherches l’interrupteur Saurais-tu effacer l’ardoise Depuis le temps qu’elle cherche noise As-tu jamais été heureuse Est-ce que depuis toujours tu creuses As-tu plongé la tête un soir As-tu senti ses mâchoires À la fontaine iras-tu boire Sortiras-tu du couloir Iras-tu à l’abreuvoir Pour y laver ta mémoire À la fontaine iras-tu boire Y chercheras-tu de l’espoir À la fontaine iras-tu boire Il n’est peut-être pas trop tard Je sais le fleuve où tu te noies Je sais la rive où tu échoues J’en ai perdu bien des combats J’ai tant de fois plié genoux Tu peux au moins compter sur moi Je n’ai qu’une épaule à t’offrir Pas de fierté pas d’embarras Prends ta ration viens te blottir Achève-moi achève-moi...
48.
VALSE BRUSQUE Quand tu gifles les chairs Dis-moi que c’est d’enfer Que t’en rêves la nuit Des blessures infinies Toi guère épais, et moi mollusque Et nos façons tremblées de valse brusque Tes poings fermés, mes bras noueux C’est donc le sang qui rend heureux Plutôt que tout le reste Ces quelques gouttes sur ma veste Plutôt que tout autre chose Tout ce qui nous oppose Toujours d’attaque, canif en poche Tu ries beaucoup avec tes proches Fripe mitée, cheveux filasse Tous à la pêche à la grimace C’est no future pour de vrai Les économies de cigale Rien pour plus tard, vraiment que dalle Compte pas sur moi pour pleurer Ça restera balades au crépuscule Bière chaude et match nul Je ne t’oublierai pas Je ne t’oublierai pas Quand tu gifles les chairs Dis-moi que c’est d’enfer Que t’en rêves la nuit Des blessures infinies Toi guère épais, et moi mollusque Et nos façons tremblées de valse brusque Tes poings fermés, mes bras noueux C’est donc le sang qui rend heureux Plutôt que tout le reste Ces quelques gouttes sur ma veste Plutôt que tout autre chose Tout ce qui nous oppose
49.
ACCEPTE-TOI Qu’est-ce que ça fait de flotter au-dessus de ton corps ? De te mentir à toi-même en voulant être fort – plus fort ? Tu as si peur de plonger dans le blanc de tes yeux Et d’attraper ton reflet dont jamais tu ne veux Accepte-le Est-ce une larme qui coule dans tes yeux ? Est-ce bien toi qui pleure pour nous deux ? Oui tu as bien le droit Qu’est-ce que ça fait de faire comme si tu n’étais personne ? De refuser de t’en aller là où ton cœur te porte ? Je crois quand même que c’est tout ce que tu caches derrière Qui me plaît en toi Est-ce une larme qui coule dans tes yeux ? Est-ce bien toi, tu cachais bien ton jeu ? Oui tu as bien le droit De vouloir t’enfuir ailleurs De rêver de jours meilleurs De vouloir toucher un autre toi De vouloir trouver un autre toi
50.
Ce soir, nous sommes deux devant ce fleuve qui déborde de notre désespoir. Nous ne pouvons même plus penser. Les paroles s’échappent de nos bouches tordues, et, lorsque nous rions, les passants se retournent effrayés, et rentrent chez eux précipitamment. On ne sait pas nous mépriser. Nous pensons aux lueurs des bars, aux bals grotesques dans ces maisons en ruines où nous laissions le jour. Mais rien n’est plus désolant que cette lumière qui coule doucement sur les toits à cinq heures du matin. Les rues s’écartent silencieusement et les boulevards s’animent : un promeneur attardé sourit près de nous. Il n’a pas vu nos yeux pleins de vertiges et il passe doucement. Ce sont les bruits des voitures de laitiers qui font s’envoler notre torpeur et les oiseaux montent au ciel chercher une divine nourriture. Aujourd’hui encore (mais quand donc finira cette vie limitée) nous irons retrouver les amis, et nous boirons les mêmes vins. On nous verra encore aux terrasses des cafés. Il est loin, celui qui sait nous rendre cette gaieté bondissante. Il laisse s’écouler les jours poudreux et il n’écoute plus ce que nous disons. « Est-ce que vous avez oublié nos voix enveloppées d’affections et nos gestes merveilleux ? Les animaux des pays libres et des mers délaissées ne vous tourmentent-ils plus ? je vois encore ces luttes et ces outrages rouges qui nous étranglaient. Mon cher ami, pourquoi ne voulez-vous plus rien dire de vos souvenirs étanches ? » L’air dont hier encore nous gonflions nos poumons devient irrespirable. Il n’y a plus qu’à regarder droit devant soi, ou à fermer les yeux.
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VIENS DANS MA VALLÉE Viens dans ma vallée, tu verras bien Tous ces morts en terre au cyprès de leur terre Viens dans ma vallée, tu verras bien Viens donc te mêler aux odeurs de pins Epices et bruyères Cévenol atmosphère Viens dans ma vallée tu verras bien Crois-le bien que ces futées cachent des destins Loups et Gargamels, Schtroumfs anciens Restent dans la vallée les châtaigniers A l'endroit des potences et des gibets Viens dans ma vallée tu verras loin Le temps du désert, Huguenots, gens sans terre Viens dans ma vallée tu verras loin « Qui peut me résister est bien fort » Clame le roi soleil comptant les morts Car camisard vit au bout du chemin Arme ses fidèles dès le matin Viens à s'enrayer calibres anciens Dumas et ficelle tombent sous les falaises Viens dans ma vallée tu verras loin Ce sont battus à mort pour améliorer leur sort, vivre libre au soleil Voyez-vous, voyez-vous, voyez-vous, voyez-vous ou ou ou ou ou Ce qu'il reste en nous Des stèles dans des cailloux Voyez-vous, voyez-vous, voyez-vous, voyez-vous ou ou ou ou ou Ce qu'il reste en nous Ces herbes debout
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LA NUIT JE DEVIENS FOLLE je suis de lèvres fardées de nuits et d’alcool mêlé de corps à corps à corps encore enivré je suis de peau caressée de lits et de draps froissés de corps à corps à corps encore désiré la nuit je deviens folle je mens je m’envole je suis de bouches touché de sueurs et de larmes trempé de corps à corps à corps encore dévoré je suis d’hommes emmêlé de cris et de souffle coupé de corps à corps à corps alors délivré la nuit je deviens folle je mens je m’envole la nuit quand je me donne non je ne suis à personne Ouuuuuuuu non je ne suis à personne
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CLOSING TIME Yeah we're drinking and we're dancing But there's nothing really happening And the place is dead as Heaven on a Saturday night And my very close companion Gets me fumbling gets me laughing She's a hundred but she's wearing Something tight And I lift my glass to the awful truth Which you can't reveal to the ears of youth Except to say it isn't worth a dime And the whole damn place goes crazy twice And it's once for the devil and it's once for Christ But the boss don't like these dizzy heights We're busted in the blinding lights Of closing time The whole damn place goes crazy twice And it's once for the devil and it's once for Christ But the boss don't like these dizzy heights We're busted in the blinding lights Busted in the blinding lights Of closing time Oh the women tear their blouses off And the men they dance on the polka-dots It's closing time And it's partner found, it's partner lost And it's hell to pay when the fiddler stops It's closing time I swear it happened just like this: A sigh, a cry, a hungry kiss It's closing time The Gates of Love they budged an inch I can't say much has happened since But closing time I loved you when our love was blessed I love you now there's nothing left But closing time I miss you since the place got wrecked By the winds of change and the weeds of sex It's closing time

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WALDEN #7 | Un Refuge au Printemps
Prog & DA : Nesles
Illustration : Charles Berberian

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Venues d'une envie de partager des scènes dans des lieux pas forcément faits pour accueillir des concerts (galeries, maisons, musées, bars d'hôtels, caves, sous-sols, librairies, toits, jardins, terrasses...), les SOIRÉES WALDEN sont l'occasion d'investir de nouveaux espaces/temps avec des artistes dont j'aime les chansons, la nature, ou tout simplement l'âme, le regard, la gueule. Parfois ces rencontres se sont faites sur des ondes radios ou sur la toile (Café Walden), parfois dans des vraies salles (Festival Walden). Toujours ça a été une résistance et une fête. Nous continuons. Écrivez-nous, achetez nos albums, venez nous voir en concert, on adore ça, et c'est comme ça que nous vivons, que nous tenons.
À bientôt. À tout de suite
N.
La magnifique illustration de Walden #7 est signée Charles Berberian.
Qu’il en soit particulièrement remercié.

www.instagram.com/les_soirees_walden/
www.facebook.com/lessoireeswalden
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released March 22, 2022

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